La commune de St Fargeau–Ponthierry a décidé de lancer un programme ambitieux de
réaménagement des friches industrielles. Situées en bord de Seine deux entreprises, HENKEL,
le lessivier, et, les établissements LEROY, entreprise, leader à l’époque du papier peint,
occupaient cet espace.
Poussé par une obligation prétendue « pressante » de rachat de ces terrains, le projet
d’aménagement dit des Bords de Seine a été présenté cet automne aux habitants de la ville.
Quelle n’a pas été leur surprise devant l’ampleur de celui–ci !
La friche concernée couvre quelques 400 000 m2. 78 000 m2 de surface de plancher sont
prévus pour une première tranche concernant 805 logements. Cela représente une
augmentation de près de 15% de population, En fait, un nouveau hameau.
La circulation sur ce secteur, au pont du Maréchal juin, est très dense, à la limite de la
thrombose (plus de 20 000 véhicules/jour selon une enquête de trafic de 2018–2019). Les
usagers peuvent mettre entre 25 à 30 minutes pour passer d’une rive à l’autre.
L’urbanisation, a été privilégiée à tout autre alternative avec pour préoccupation dominante
d’optimiser les droits à vendre.
St Fargeau–Ponthierry a connu en 5 ans un boom de construction de plusieurs centaines de
logements, principalement en centre–ville, et au standard de beauté exigé par l’état : nous
tutoyons avec les 25 % de logements sociaux. Quelle folie pousse alors à vouloir encore et
encore urbaniser ?
Le contexte actuel de dérèglement climatique et de l’urgence à agir, oblige à une extrême
prudence dans les choix à prendre surtout en matière d’urbanisme où l’empreinte écologique est
particulièrement forte. Et pourtant sur ce point, notre ville a mis sans sourcilier un mouchoir par–
dessus.
Notre commune est déjà asphyxiée…
Et là où la circulation est déjà saturée, on n’hésite pas à amplifier le trafic, car comment les
nouveaux venus vont aller travailler ? De plus sous prétexte d’aménager 500 m de piste
cyclable, idée positive a priori, on imagine alors déplacer la route actuelle, au prix de moyens considérables. Le rapport cout/bénéfice environnemental est disproportionné. Penser ZEN, ne
semble pas être le sujet.
Aujourd’hui seul le PPRI, plan particulièrement commode pour les promoteurs, fait référence.
Établi en 2013, il date un peu… D’autres données officielles viennent fortement le contredire.
Les risques d’inondation aujourd’hui et demain sont indéniables. Mais là aussi cela ne semble
pas être non plus le sujet.
Sujet ô combien sensible mais où la seule allusion, se trouve ici dans l’expression d’un
programme de végétalisation approximatif qui ne rassure que leurs auteurs. La loi Climat et
Résilience ? Absence criante aussi du débat.
En fait le seul mot d’ordre de nos édiles, ressemble plus à une triviale opération immobilière
faisant fi des impacts environnementaux.
L’aménagement des bords de Seine est un atout pour tous, habitants de la ville
comme de l’ensemble de l’agglomération Melun Val de Seine. Le dilemme reste
entier. Saurons–nous le résoudre ?
une marche, départ pont du Maréchal Juin rive de Seine Port est organisée pour faire entendre votre voix.
La République de Seine-et-Marne: cliquez sur ce lien
Le Parisien: cliquez sur ce lien
Pour en savoir plus sur la nécessité de participer à ce grand rassemblement,
Consultez le document en cliquant ici
Pour connaitre votre avis sur le sujet, téléchargez le questionnaire en cliquant ici
Nécessité de projets alternatifs car refus nettement exprimé du projet actuel présenté par nos élus.
Cliquez sur l’image pour voir la vidéo ———>
Donnez du poids à notre voix, venez signer la pétition contre les 805 logements !
Un projet qui nuira à notre ville et notre environnement.
Prochaine étape : Proposition d’un calendrier pour mettre en œuvre ces actions que la mairie nous communiquera au plus tard début janvier 2023
Près de 40 propositions d’actions ont été faites touchant la mobilité douce, la renaturation, la réduction des déchets et l’efficience énergétique.
Un hit-parade de ces actions a été ensuite dressé sélectionnant 16 actions majeures et prioritaires à mener au plus vite.
Alerte dégradation et utilisation illégale d’un chemin communal à MOULIGNON pour accéder à un terrain privé chemin des Roches: Vous n’avez pu venir, nous y étions ! (Mais pas d’élu !!!)
Samedi 22 janvier l’appel a été entendu : plus de 50 personnes se sont déplacées, mobilisées contre ce terrassement sauvage sur Moulignon . En présence de la presse (La République de Seine-et-Marne dont vous pourrez lire leur article dès la parution du journal lundi matin) sont venus : des riverains, l’agriculteur qui s’est fait « dérober » 100 m de long sur 4 m de large de terrain (soit 400 m² !!!) pour l’empierrage du chemin, des Moulignonais, des Féréopontains inquiets de voir se dégrader leur environnement auquel ils sont attachés mais surtout ébahis de constater cet abus de bien public qui est un non-respect de la loi, constat signalé en mairie par une riveraine dès décembre 2021. Pour rappel, le chemin des Roches est un chemin de randonnée reconnu par les pouvoirs publics !
Ont été prévenus de ce type d’exaction :
La Mairie, la Police Municipale, la Gendarmerie, la Préfecture, la DDT, la DRIE, GRDF, EDF, 2 députés (Madame Aude Luquet, Monsieur Olivier Faure), des médias (La République de Seine-et-Marne, Le Parisien, Canal-Plus, Radio-Evasion
Nous réclamons une justice égale pour tous !
Ce samedi 22 janvier, nous avons attendu … mais contrairement à ce qui nous avait été promis après 3 sollicitations de la part d’ADEMAJ: PAS D’ÉLU PRÉSENT
Consultez les remarques faites à Madame la commissaire enquêtrice par ADEMAJ, en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Vous pouvez prendre connaissance du détail de chaque observation, en cliquant sur chacune d’elle dans le pavé de droite
Tout un chacun est déjà en mesure de constater l’emballement du réchauffement sur notre ville. Le mois de mai a battu des records de température cette année. Les rus sont à des niveaux d’eau très bas, fontaines et mares s’assèchent et paradoxalement nous connaissons aussi des inondations.
6 associations de protection de l’environnement, dont ADEMAJ, se sont regroupées en un collectif appelé POUCE CO2, pour « pouce=pause », afin de concerter en amont des projets d’urbanisation du bassin de vie 1* comprenant les communautés d’agglomération de Melun Val-de-Seine, dont fait partie St Fargeau Ponthierry, et, Grand Paris Sud.
Un bassin de vie est un tout où chaque élément dépend des autres avec lesquels il intéragit. On doit donc être très attentifs aux impacts des projets d’aménagement sur les enjeux écologiques, sociaux et économiques pour nous et nos voisins. Car nous sommes sur le même bateau…
Sur St Fargeau Ponthierry, le projet d’aménagement des bords de Seine avec la perspective d’implantation en zone inondable d’un programme d’infrastructure collective de plus de 800 logements, a des conséquences environnementales et sociales importantes tant sur la ville elle-même mais aussi sur les autres communes et ses habitants.
Il y a une impérieuse nécessité de coordonner les décisions et de rechercher une cohérence géographique entre toutes les villes du bassin de vie. Ce que l’on décide sur St Fargeau Ponthierry a des effets immédiats et permanents sur les villes de Pringy, de Boissise le roi, du Coudray Montceaux, de Seine port, de Cesson pour ne citer qu’elles.
POUCE CO2
1* Bassin de vie : territoire délimité par le flux migratoire quotidien des résidents de ce territoire, c’est à dire correspondant à l’espace vie des habitants d’une ville, d’un village qui ont accès aux équipements et services les plus courants
Pour lire l’article du Parisien: cliquez sur ce lien
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